Une étude révèle que l'usage des implants mammaires, du déodorant ou du café ne sont pas cancérigène.
  • 03 Juin 2015 à 11:26


On peut penser que n’importe quel élément peut être cancérigène, mais seulement quelques uns sont plus probables de l’être. Bannissez en tout cas la panique. Les implants mammaires (dans le cadre d'une plastie mammaire d'augmentation ou d'un lifting des seins avec prothèses), le déodorant et le café ont une très faible probabilité d’être un des facteurs causant le cancer, selon une étude australienne.

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Le tabagisme, la consommation excessive d'alcool, l'exposition délibérée au soleil, vivre à côté d’une décharge publique ou d’une raffinerie de pétrole sont des facteurs extrêmement cancérigènes, selon le Professeur Bernard Stewart, de l'Université de la Nouvelle-Galles du Sud et Sydney du Sud-est et de Santé d’Illawarra.
Parmi les risques "probables" étaient le fumant de drogue, l'utilisation de solarium, le repas des grandes quantités de viande de charcuterie et la vie près d'une décharge superflue.

Considéré comme moins risqué tels que l'utilisation de colorant capillaire, l’usage des téléphone portables, de produits cosmétiques, d’additifs alimentaires ou encore vivre près des lignes à haute tension.
Bernard Stewart a presque exclu le risque pour une gamme incluant les édulcorants artificiels, le café, le déodorant, les plombages dentaires, les implants mammaires et l’eau enrichi en fluor, rapporte Sidney Morning Herald.
La recherche a été publiée dans le journal « Mutations Research Reviews» de façon à coïncider avec la journée mondiale de lutte contre le cancer.

Elle passe en revue plus de 60 agents ou situations cancérigènes possibles et les classe dans l’un des 5 différents groupes correspondant à : prouvé (comme étant cancérigène), probablement (cancérigène), risque (d’être un facteur cancérigène), inconnu ou peu probable (d’être un facteur cancérigène).
Le directeur général du « Cancer Council » en Australie, le Professeur Ian Olver a déclaré qu’il était primordial voir vital que le grand public ait des informations précises sur les éléments cancérigènes afin de mieux réduire les risques.