Chirurgie mammaire : les petits tétons ont le vent en poupe
  • 24 Fevrier 2017 à 13:20

Les seins sont, indiscutablement, les symboles de la féminité et au lieu de les célébrer, les femmes ne pensent qu’à les malmener. Si certaines veulent les augmenter, d’autres souhaitent les réduire, les rapprocher, les remodeler, … et tout cela, par le biais de la chirurgie esthétique. Et les actes chirurgicaux qui touchent les seins évoluent quotidiennement comme le font la mode ou encore la beauté. La dernière lubie de ces dames est donc d’avoir des petits tétons.

Une demande croissante pour des petits tétons

Oui, la mode est aujourd’hui d’avoir des mamelons plus petits et pour 2017, les prévisions sont élevées. Rien qu’en 2016, cette nouvelle technique a augmenté de 30 % ce qui ne devrait pas redescendre de sitôt.

Pour les chirurgiens, corriger les mamelons, quels que soient leur type (trop gros, trop petits, inversés, …) n’est pas chose nouvelle. Par contre, ils ne s’expliquent pas l’engouement soudain des femmes pour les petits tétons. Et il y a même une formule précise !

En effet, pour la majorité de ces dames, les tétons ne doivent pas dépasser les 25 à 30 % de la surface des seins. Au-delà de ces pourcentages, soit à environ 50 %, elles estimaient qu’ils étaient trop gros.

Des chirurgies là où ne soupçonne pas

Si les chirurgiens ne sont que de simples exécutants des demandes qui leur parviennent, ils font toutefois la remarque suivante : « la chirurgie esthétique n’est plus seulement utilisée pour corriger des défauts visibles, mais elle s’attaque aussi à des endroits quasi invisibles ».

La chirurgie des petits tétons n’est pas la seule à s’attaquer à une zone cachée. On peut aussi citer :

  • La labiaplastie : cela consiste à réduire la taille des lèvres du vagin. En 2015, une hausse de 80 % a été enregistrée pour cette intervention
  • Le stilleto surgery qui est la chirurgie esthétique des pieds
  • L’augmentation des fesses à l’image du popotin de Kim Kardashian

Tous ces changements indiquent que, de nos jours, passer sous le bistouri ne consiste plus seulement à être beau/belle, mais à atteindre un idéal de beauté parfois extrême. Le problème c’est que les critères changent constamment et peut-être que d’ici l’année prochaine, les femmes à petits mamelons voudront de nouveau des gros tétons …